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Un habitué du forum beige, où il s’est inscrit le 25 février 2007 en se présentant ainsi :
« Bonjour,
J’ai 45 ans, j’habite dans le Poitou, et je m’intéresse à la WW2 depuis plus de trente ans (d’où ma belle bibliothèque de près de mille ouvrages sur le sujet).
J’espère bien débattre de nombreux sujets avec vous.
@+ »
Passionné d’histoire militaire, et porté par là-même à sous-estimer les facteurs politiques dans les décisions de Hitler, il commence (sauf erreur) à devenir agressif dans l’automne de 2008 contre des internautes qui affirment qu’il n’a jamais voulu envahir l’Angleterre. Specimen :
Il existe suffisamment d’indices qui corroborent une intention nazie d’envahir la Grande-Bretagne.
Ne serait-ce que la directive N°16.
Qu’Hitler y ait renoncé assez rapidement, je l’accepte.
Qu’après coup, on vienne nous dire, "ah ! mais non, vous n’avez rien compris ! En fait Hitler ne voulait pas, c’était du bluff", pardonnez-moi, c’est cela relève de l’enfantillage !
Vous vous faites l’écho d’une vielle école historique française qui méprise la chose militaire, en la regardant comme négligeable, vaguement honteuse du fait d’un soupçon ridicule de militarisme.
Alors que les école historiques britanniques et américaines notamment, mais allemandes et russes désormais, lui accordent l’importance qu’elle a eue, ni plus ni moins.
Les facteurs militaires dans la Seconde guerre mondiale, on été très importants, sinon prépondérants. Ils doivent être étudiés au même titre que les facteurs politiques et/ou diplomatiques. Il n’y a rien de désespérant là dedans !
Cessez de vous voiler la face, et revenons aux choses sérieuses !
Le vol de Hess, puis l’arrêt devant Dunkerque, seront les stations suivantes de son escalade verbale. A ce dernier propos, il s’illustre en étant le premier supporter du "Lecteur" dans la "cloaca maxima" d’août 2012. Une originalité cependant : il fait une nette distinction entre mes livres et mes interventions sur les forums, au bénéfice des premiers... mais il en attribue tout le mérite à mes éditeurs !
Sans vouloir généraliser ni, surtout, gommer les conseils judicieux de rédaction d’un certain nombre d’entre eux, je trouve qu’il s’illusionne beaucoup sur cette profession, à une époque où elle pare au plus pressé à grand renfort d’éphémères stagiaires !
En ce mois de décembre 2012, Clayroger revient très fort à la charge, à propos de "Speer et la terre brûlée" et de l’affaire Toukhatchevsky.
Note du 7 janvier 2014
Une nouvelle attaque, d’une faiblesse évidente, suivie d’un silence... pour une fois honteux ?
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